La Dune Du Pyla : Naturelle Ou Héritage D’un Cataclysme Oublié ?
La Grande Dune du Pyla, perchée au cœur du bassin d’Arcachon, est connue comme la plus haute dune de sable d’Europe. Mais derrière cette image de carte postale, une question dérangeante demeure : cette montagne de sable est-elle vraiment naturelle ?
Officiellement, les spécialistes parlent de lents processus : vents, marées et dépôts sédimentaires accumulés au fil des millénaires. Mais en contemplant ce gigantesque amas de 60 millions de m³ de sable, haut de 110 mètres, ne dirait-on pas qu’un cataclysme démesuré a déversé d’un seul coup ce monument sur la forêt d’Arcachon ?
Le mystère s’épaissit lorsqu’on plonge dans les archives. Sur une carte du XVIIIème siècle, établie sous Louis XIV, aucune dune n’apparaît à cet endroit. Ce n’est que plus tard que l’on évoque les « Nouveaux Sables », comme si la dune avait surgi brusquement aux yeux des habitants. Comment expliquer un tel bouleversement ?
Les datations au carbone suggèrent que le sable aurait commencé à ensevelir la région il y a environ 3500 ans. Mais cette chronologie, loin d’apporter des réponses, alimente au contraire les doutes : et si un événement gigantesque, oublié des chroniques humaines, avait balayé les côtes, projetant cette masse venue de l’océan jusqu’à l’intérieur des terres ? La Dune du Pyla est-elle vraiment le fruit patient du temps… ou bien la cicatrice visible d’un cataclysme occulté et peut-être même provoqué ?
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La Grande Dune du Pyla, perchée au cœur du bassin d’Arcachon, est connue comme la plus haute dune de sable d’Europe. Mais derrière cette image de carte postale, une question dérangeante demeure : cette montagne de sable est-elle vraiment naturelle ?
Officiellement, les spécialistes parlent de lents processus : vents, marées et dépôts sédimentaires accumulés au fil des millénaires. Mais en contemplant ce gigantesque amas de 60 millions de m³ de sable, haut de 110 mètres, ne dirait-on pas qu’un cataclysme démesuré a déversé d’un seul coup ce monument sur la forêt d’Arcachon ?
Le mystère s’épaissit lorsqu’on plonge dans les archives. Sur une carte du XVIIIème siècle, établie sous Louis XIV, aucune dune n’apparaît à cet endroit. Ce n’est que plus tard que l’on évoque les « Nouveaux Sables », comme si la dune avait surgi brusquement aux yeux des habitants. Comment expliquer un tel bouleversement ?
Les datations au carbone suggèrent que le sable aurait commencé à ensevelir la région il y a environ 3500 ans. Mais cette chronologie, loin d’apporter des réponses, alimente au contraire les doutes : et si un événement gigantesque, oublié des chroniques humaines, avait balayé les côtes, projetant cette masse venue de l’océan jusqu’à l’intérieur des terres ? La Dune du Pyla est-elle vraiment le fruit patient du temps… ou bien la cicatrice visible d’un cataclysme occulté et peut-être même provoqué ?
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Persécution et élimination des géants dans le passé ?
Il Martirio de San Cristoforo, auteur Giovanni David, Gênes 1776
Ancien propriétaire : George III roi de Grande-Bretagne 1738 - 1820
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La Cité Perdue de Mardaman Révélée en Irak
Les archéologues ont découvert la cité perdue de Mardaman, une ville antique datant d’environ 4800 ans, située près de la ville moderne de Bassetki, au Kurdistan irakien. Cette cité, autrefois puissante et influente, s’élevait sur un tell (colline formée par des ruines accumulées).
Le mystère de son nom a été résolu lorsqu’en 2017, les chercheurs de l’Université de Tübingen ont trouvé 92 tablettes cunéiformes dans un récipient en poterie, soigneusement scellé dans les ruines d’un palais. Déchiffrées par la philologue Betina Faist, ces tablettes mentionnaient la ville sous le nom de Mardaman.
Mardaman a prospéré entre 2800 et 1700 av. J.-C., et a connu des périodes d’indépendance mais aussi de domination par de grands empires, dont l’Assyrie. À l’époque assyrienne, vers 1250 av. J.-C., elle était gouvernée par Assur-nasir, dont les échanges commerciaux et administratifs sont consignés sur les tablettes.
Le palais fut détruit vers 1200 av. J.-C., mais la ville continua d’exister, reconstruite à plusieurs reprises malgré les attaques. Sa position stratégique sur les routes reliant la Mésopotamie, l’Anatolie et la Syrie fit de Mardaman un royaume influent et parfois rival des grandes puissances mésopotamiennes.
Aujourd’hui, les fouilles se poursuivent, révélant peu à peu l’histoire d’une cité longtemps perdue et miraculeusement épargnée par le pillage récent des sites archéologiques en Irak.
Crédits photo : Matthias Lang/ Benjamin Glissmann, Université de Tübingen eScience-Center, Peter Pfälzner/Université de Tübingen
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Les archéologues ont découvert la cité perdue de Mardaman, une ville antique datant d’environ 4800 ans, située près de la ville moderne de Bassetki, au Kurdistan irakien. Cette cité, autrefois puissante et influente, s’élevait sur un tell (colline formée par des ruines accumulées).
Le mystère de son nom a été résolu lorsqu’en 2017, les chercheurs de l’Université de Tübingen ont trouvé 92 tablettes cunéiformes dans un récipient en poterie, soigneusement scellé dans les ruines d’un palais. Déchiffrées par la philologue Betina Faist, ces tablettes mentionnaient la ville sous le nom de Mardaman.
Mardaman a prospéré entre 2800 et 1700 av. J.-C., et a connu des périodes d’indépendance mais aussi de domination par de grands empires, dont l’Assyrie. À l’époque assyrienne, vers 1250 av. J.-C., elle était gouvernée par Assur-nasir, dont les échanges commerciaux et administratifs sont consignés sur les tablettes.
Le palais fut détruit vers 1200 av. J.-C., mais la ville continua d’exister, reconstruite à plusieurs reprises malgré les attaques. Sa position stratégique sur les routes reliant la Mésopotamie, l’Anatolie et la Syrie fit de Mardaman un royaume influent et parfois rival des grandes puissances mésopotamiennes.
Aujourd’hui, les fouilles se poursuivent, révélant peu à peu l’histoire d’une cité longtemps perdue et miraculeusement épargnée par le pillage récent des sites archéologiques en Irak.
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Le Plus Grand Sacrifice D’Enfants Jamais Découvert
Au nord du Pérou, les archéologues ont mis au jour le site de Huanchaquito-Las Llamas, témoin du plus grand sacrifice d’enfants connu à ce jour. Daté d’environ 1450 apr. J.-C., il révèle le massacre rituel de plus de 140 enfants, âgés de 5 à 14 ans, et de 200 jeunes lamas. Les analyses des ossements montrent que la poitrine des victimes fut ouverte, probablement pour en extraire le cœur.
L’événement, lié selon les chercheurs à un épisode climatique extrême de type El Niño, aurait été organisé par l’empire Chimú dans l’espoir de calmer les divinités responsables des pluies et des inondations dévastatrices.
Enterrés face à la mer ou aux montagnes, les enfants et les animaux semblent avoir été conduits ensemble au lieu du rituel, leurs empreintes demeurant encore visibles dans la boue séchée.
Cette découverte bouleverse la compréhension du sacrifice humain dans les Andes précolombiennes et suggère qu’il pourrait exister d’autres sites similaires encore enfouis sous le sable côtier.
Crédit photo : Gabriel Prieto
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Au nord du Pérou, les archéologues ont mis au jour le site de Huanchaquito-Las Llamas, témoin du plus grand sacrifice d’enfants connu à ce jour. Daté d’environ 1450 apr. J.-C., il révèle le massacre rituel de plus de 140 enfants, âgés de 5 à 14 ans, et de 200 jeunes lamas. Les analyses des ossements montrent que la poitrine des victimes fut ouverte, probablement pour en extraire le cœur.
L’événement, lié selon les chercheurs à un épisode climatique extrême de type El Niño, aurait été organisé par l’empire Chimú dans l’espoir de calmer les divinités responsables des pluies et des inondations dévastatrices.
Enterrés face à la mer ou aux montagnes, les enfants et les animaux semblent avoir été conduits ensemble au lieu du rituel, leurs empreintes demeurant encore visibles dans la boue séchée.
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L’Énigmatique Idole De Shigir, Plus Vieille Que Les Pyramides
Découverte en 1894 dans une tourbière des monts Oural en Russie, l’Idole de Shigir est une mystérieuse statue en bois de plus de 11500 ans, soit deux fois plus ancienne que les pyramides de Gizeh. Haute à l’origine d’environ 4,5 mètres, elle est aujourd’hui incomplète mais conserve des visages gravés, dont le nombre est passé à sept après des découvertes successives jusqu’en 2014.
Son rôle demeure inconnu : certains archéologues pensent qu’elle servait à relier les communautés de chasseurs-cueilleurs à leurs ancêtres ou à des mythes fondateurs.
Fascinante et inquiétante, cette œuvre monumentale témoigne des croyances et des savoir-faire d’un monde préhistorique encore largement mystérieux.
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Découverte en 1894 dans une tourbière des monts Oural en Russie, l’Idole de Shigir est une mystérieuse statue en bois de plus de 11500 ans, soit deux fois plus ancienne que les pyramides de Gizeh. Haute à l’origine d’environ 4,5 mètres, elle est aujourd’hui incomplète mais conserve des visages gravés, dont le nombre est passé à sept après des découvertes successives jusqu’en 2014.
Son rôle demeure inconnu : certains archéologues pensent qu’elle servait à relier les communautés de chasseurs-cueilleurs à leurs ancêtres ou à des mythes fondateurs.
Fascinante et inquiétante, cette œuvre monumentale témoigne des croyances et des savoir-faire d’un monde préhistorique encore largement mystérieux.
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Pentecôte avec Cynocéphale (homme à tête de chien) !!
Évangile arménien du XIVe siècle
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Tap O' Noth : La Citadelle Picte Oubliée
Tap O’ Noth, en Écosse, l’un des sites les plus mystérieux du Royaume-Uni. Une forteresse gigantesque, perchée à plus de 560 mètres d’altitude, dont les origines défient encore l’entendement.
La construction même de Tap O' Noth pose d’innombrables questions. Transporter et empiler ces tonnes de pierres sur une pente aussi abrupte, sans aucun moyen mécanique, relève de l’exploit. Et pourtant, cela a été fait il y a probablement plus de 2000 ans..
Pour en savoir plus sur ce sujet fascinant, ne manquez pas notre émission :
https://youtu.be/_3yt5WQKji0?si=Olo5cY1PkE5Uz3dK
Tap O’ Noth, en Écosse, l’un des sites les plus mystérieux du Royaume-Uni. Une forteresse gigantesque, perchée à plus de 560 mètres d’altitude, dont les origines défient encore l’entendement.
La construction même de Tap O' Noth pose d’innombrables questions. Transporter et empiler ces tonnes de pierres sur une pente aussi abrupte, sans aucun moyen mécanique, relève de l’exploit. Et pourtant, cela a été fait il y a probablement plus de 2000 ans..
Pour en savoir plus sur ce sujet fascinant, ne manquez pas notre émission :
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❤20🔥5
Salut les amis !
Je viens de finir l'écriture de la prochaine émission, ce sera une grosse émission et elle sera à coup sûr une des meilleures de la chaîne Notre Mystérieuse Histoire.. de par les thèmes et théories évoqués, l'ampleur de l'enquête, le nombre de sources recoupées et synthétisées pour la réaliser, le soin apporté au récit.. Hâte de vous faire découvrir cette enquête passionnante qui va bousculer vos certitudes sur l'histoire de l'humanité..
Merci de nous suivre 💜
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Un Temple Gréco-Romain Émerge Du Désert Égyptien
Des archéologues ont mis au jour les vestiges d’un temple gréco-romain dans le désert occidental d’Égypte, sur le site d’Al-Salam, à environ 30 km à l’est de l’oasis de Siwa. Cette découverte comprend la façade du temple, des parties de ses fondations et de son entrée principale, ainsi qu’un mur d’enceinte menant à une cour entourée d’autres chambres.
Parmi les artefacts retrouvés figurent des fragments de poterie, des pièces de monnaie, une sculpture d’une tête masculine d’inspiration grecque et deux statues de lions en calcaire, dont l’une sans tête. Les pierres et éléments architecturaux présentent des motifs caractéristiques gréco-romains, comme le décor à œufs et fléchettes sur les linteaux et piliers.
L’oasis de Siwa, isolée dans le désert, est célèbre pour avoir été visitée par Alexandre le Grand, qui y consulta un oracle le proclamant roi divin d’Égypte. Cette nouvelle découverte éclaire davantage l’importance historique et religieuse de la région.
Le temple pourrait révéler des indices sur la vie quotidienne de l’époque, notamment celle des prêtres et des habitants locaux, ainsi que sur le rôle des temples comme centres économiques et religieux.
Cette découverte témoigne non seulement du riche héritage architectural gréco-romain en Égypte, mais aussi du potentiel encore inexploité des fouilles dans la région. Elle rappelle que, malgré des siècles de recherches, l’Égypte continue de livrer des secrets inattendus sur son passé fascinant.
Crédit Photo : Ministère des Antiquités égyptiennes
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Des archéologues ont mis au jour les vestiges d’un temple gréco-romain dans le désert occidental d’Égypte, sur le site d’Al-Salam, à environ 30 km à l’est de l’oasis de Siwa. Cette découverte comprend la façade du temple, des parties de ses fondations et de son entrée principale, ainsi qu’un mur d’enceinte menant à une cour entourée d’autres chambres.
Parmi les artefacts retrouvés figurent des fragments de poterie, des pièces de monnaie, une sculpture d’une tête masculine d’inspiration grecque et deux statues de lions en calcaire, dont l’une sans tête. Les pierres et éléments architecturaux présentent des motifs caractéristiques gréco-romains, comme le décor à œufs et fléchettes sur les linteaux et piliers.
L’oasis de Siwa, isolée dans le désert, est célèbre pour avoir été visitée par Alexandre le Grand, qui y consulta un oracle le proclamant roi divin d’Égypte. Cette nouvelle découverte éclaire davantage l’importance historique et religieuse de la région.
Le temple pourrait révéler des indices sur la vie quotidienne de l’époque, notamment celle des prêtres et des habitants locaux, ainsi que sur le rôle des temples comme centres économiques et religieux.
Cette découverte témoigne non seulement du riche héritage architectural gréco-romain en Égypte, mais aussi du potentiel encore inexploité des fouilles dans la région. Elle rappelle que, malgré des siècles de recherches, l’Égypte continue de livrer des secrets inattendus sur son passé fascinant.
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