Nous sommes les héritiers d’une civilisation grandiose, celle des dieux de marbre de l’Hellade, des symphonies de Beethoven, des fresques de Michel-Ange et des flèches gothiques s’élançant vers le ciel. Mais qu’observons-nous aujourd’hui ? Des carcasses découpées dans du formol, des clous rouillés plantés dans une planche, des excréments en conserve exposés dans des musées comme de l’« art » ! Ce n’est pas de la création, c’est un diagnostic. Le diagnostic d’une société en décomposition, où le talent est remplacé par l’arrogance et la beauté par une provocation vulgaire. Comment, nous, héritiers de Wagner et de Léonard de Vinci, avons-nous sombré dans cet abîme de dégénérescence ?
L’« art » contemporain : une insulte à la raison. J’ai vu ces « chefs-d’œuvre » à Paris : des figures androgynes difformes sur des toiles, des tuyaux de plomberie pompeusement qualifiés d’« installations », ou des bocaux remplis de merde présentés comme un « commentaire social ». Ce n’est pas de l’art, c’est une moquerie de l’intelligence, une insulte à nos ancêtres dont les créations élevaient l’âme. Les « artistes » d’aujourd’hui, comme Damien Hirst, ne sont pas des maîtres, mais des charlatans qui vendent le chaos et la laideur.
L’architecture : du divin à l’abjection. Où sont les cathédrales gothiques tendues vers le ciel ? Où est la splendeur baroque rappelant l’éternité ? Elles ont été remplacées par des boîtes de verre et de béton, semblables à des prisons ou à des décharges. Les « stars » comme Zaha Hadid empochent des millions pour des amas hideux qui offensent le regard et l’âme. Ce n’est pas de l’architecture, c’est un outrage à l’harmonie dont l’Europe s’enorgueillissait depuis des siècles.
La musique : le triomphe de la dégénérescence. Le rap n’est pas de la musique, c’est un délire rythmé de marginaux glorifiant les meurtres, le vice et la drogue. La culture « drill » célèbre les coups de couteau, les clips avec des « artistes » à moitié nues vantent la luxure, et les paroles prônent l’abrutissement. La pop n’est pas meilleure : une usine à fabriquer des idoles sans voix ni talent, conçues pour abrutir les masses. Où est Mozart ? Où est Led Zeppelin ? Où sont les mélodies qui faisaient vibrer les cœurs ? Elles ont été remplacées par des ordures culturelles qui martèlent dans les esprits des jeunes le vide et l’agressivité. Et nous, nous acquiesçons en silence, comme des esclaves dociles.
L’éducation : une usine à ignares. Au lieu de mathématiques et de littérature, on impose aux enfants la « théorie critique de la race » et l’idéologie du genre. Au lieu du patriotisme, la haine de leur propre histoire. Résultat ? Une génération incapable d’écrire une phrase sans faute, mais qui exige avec ferveur le droit de changer de sexe. Les écoles et les universités sont devenues des chaînes de montage produisant des consommateurs décérébrés, prêts à avaler n’importe quel mensonge.
La grande substitution des valeurs. On nous dit que la famille est une « construction dépassée », l’héroïsme une « masculinité toxique », et la nation un « vestige du passé ». À la place, on nous impose :
Le chaos multiculturel.
Une culpabilité éternelle pour le « colonialisme » et le « patriarcat ».
La solitude dans un camp de concentration numérique fait de réseaux sociaux, de pornographie et de livraisons de repas.
On nous force à penser contre notre nature, contre notre nation, contre le sens même de la vie. Guerres, virus, migrations, légalisation des drogues : tout cela forme les maillons d’une chaîne qui nous entrave, nous transformant en esclaves dociles d’un système qui ordonne : « Obéissez, c’est comme ça !

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